Les habits-peints, ainsi que les robes, que le peintre NATO nous montre à voir, cherchent à recréer les formes du corps et le mouvement procuré par le happening. Le point fort est qu'il laisse de visu les parties génitales à la connaissance du spectateur. Sortant en toute liberté par un orifice que le peintre NATO a prit soin d'ouvrir dans le vivant du tissu. Il affirme ici, avec audace l'esthétique de l'anatomie sexuelle, une vérité incontestable, sans ambiguïté.


Accueil